La présente note d’analyse vise à une approche de la mise en œuvre d’une réelle politique d’économie durable et circulaire, partie du développement durable, opposée au concept d’économie linéaire. Elle devrait être développée dans les années à venir, car au-delà la protection de la planète, elle sera source de développement et de matérialisation de nouveaux métiers basés sur une économie sociale libérale, qui captera l’attention de la jeunesse, très sensible à ce sujet.
La présente note vise à cristalliser une première approche des éléments nécessaires à la mise en place de cette économie, des outils à déployer et des acteurs impliqués, et ce dans le contexte politique, financier, et social belge.
Bien qu’elle soit dédiée à une échelle nationale (la Belgique), la note se base, pour la renforcer, également sur une certitude qui est émise par les Nations Unies, à savoir : « Si les objectifs de développement durable (ODD), définis par les Nations Unies ne sont pas atteints, nous savons qu’il en découlera des conséquences sans précédent à l’échelle de la planète – une multiplication des catastrophes naturelles, des épidémies ou encore des migrations forcées de grande envergure se jouant des frontières ».
Il s’agit pour le CEG de continuer à prospecter sa doctrine libérale sociale autour du thème du développement durable abordé notamment par la note récente consacrée à l’économie circulaire .