Vous trouverez ci-dessus notre position sur l’affaire du burkini qui a émaillé l’actualité en France surtout mais également dans notre pays durant l’été.
Au-delà des considérations philosophiques et juridiques nécessaires que nous posons dans ce post, le CEG déplore l’énergie et le temps qui ont été déployés cet été afin de se prononcer sur cette question qui reste secondaire par rapport à des problématiques non résolues et plus importantes telles que les mariages forcés, le chômage , le manque d’intégration des femmes d’origine musulmane, les inégalités entre hommes et femmes dans ces communautés, problématiques qui doivent continuer à nous interpeller.
Christophe VERBIST
Directeur du CEG